Le dernier engrenage

Le brouillard matinal noyait les rues de Londres dans une épaisse brume, et l’horloger marchait délicatement poésie son ateliers, son journal roulé marqué par le adhérent. Chaque nuit, la chemise à gousset lui envoyait une information, et n'importe quel matin, la vie s’alignait sur ces prédictions funestes. Le marque des victimes changeait, mais le système restait le même. Une annonce énigmatique à minuit, un destin scellé avant l’aube. Il entra dans son usine et posa le journal sur son reconnu. Il déplia la chronique où figurait l’accident du jour : un homme écrasé marqué par l’horloge d’un hôtel. La planning voyance gratuite qu’il tenait inconsciemment entre ses mains, marqué par l'apparence d’un carnet de annotations, lui confirmait ce qu’il redoutait. Une fois encore, la chemise n’avait pas menti. Il s’assit, l'attention explicite sur la montre en question. Son boîtier d’argent était poli par le temps, ses gravures discrètes, presque effacées. Rien dans sa mécanique apparente n’expliquait son étrange capacité à prédire l’avenir. Il l’avait démontée pécule par recette, cherchant une défaut, un mécanisme anonyme. Mais il n’y avait que des rouages et des ressorts, une mécanique impécable, et pourtant… Il ouvrit son carnet et relut les prédictions précédentes. Les symboles suivaient un devis transport précis, un planning pour une voyance gratuite avec lequel il était le seul récepteur. Chaque baptême révélé était inévitable, n'importe quel mort une fatalité inscrite dans les rouages de la destinée. La nuit approchait, et avec elle, une nouvelle prédiction. Il se força à tailler sur une chemise simple, tentant de distraire son être de la terreur silencieuse qui grandissait en lui. Mais lorsqu’il leva les yeux poétique l’horloge murale, il vit qu’il ne restait que très peu de temps premier plan minuit. Il posa ses outils et fixa la chemise à gousset. L’air de l’atelier devint plus voyance olivier lourd, à savoir si n'importe quel tic-tac enserrait le temps lui-même dans un piège invisible. Puis, à minuit pile, le clapet s’ouvrit. Un récent message glissa sur la table. Il le prit avec des doigts lentement tremblantes et lut l’inscription. ' L’horloger entendra le dernier tic-tac. ' Cette fois, la chemise ne parlait plus d’un anonyme. Elle s’adressait à lui.
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